Extrait du module 11 de l'université Francophone de Haute Métaphysique et Métaphysique Opérative.
Il ne sert de rien de pester contre une récolte. La seule attitude juste est de planter de nouvelles graines. Voici quelques exemples de « socioses » (maladies de société) qui constituent ces mauvaises récoltes, que les graines de "l’Hyperscience", première explication de l'origine de la conscience, de l'énergie et de la matière, totalement rationnelle, qui vous est proposée à l'index "vision scientifique" de la page d'accueil, pourraient améliorer.
PAS DE NOUVELLE CIVILISATION SANS NOUVELLE SCIENCE.
HYPERSCIENCE ET DEFICIT DEMOCRATIQUE
Le manque de connaissance de soi pousse à s’identifier à l’ego. L’identification à l’ego donne le pouvoir au mental qui nous sépare les uns des autres et nous pousse à la concurrence, c’est la priorité au cerveau reptilien qui a besoin de pouvoir pour contrôler son environnement et sa survie. Portée à son paroxysme, cette attitude conduit à conquérir le pouvoir par tous les moyens. Un des avantages du pouvoir est de satisfaire le besoin de se reproduire, en fait la sécurité sexuelle.
On reconnaît bien là le portrait-type des hommes politiques (rarement des femmes) surdoués pour conquérir le pouvoir, mais catastrophiques dans son exercice.
Il ne faut pas attendre d’eux qu’ils fassent en sorte que le pouvoir souverain appartienne au peuple. Et qu’il l’exerce. On préfère qu’il l’exerce le moins possible, et qu’il s’en remette à ce qu’on lui impose comme « représentants ». A l’Exécutif ou au Parlement. Et même tant qu’à faire uniquement à l’Exécutif. C’est ainsi que fonctionne la France, toujours à la pointe, jusqu’au mouvement des Gilets Jaunes en 2018-2019, et que fonctionnent nombre de pays prétendus démocratiques.
Peut-on espérer éduquer ces personnes à la connaissance de soi jusqu’à l’éveil pour qu’ils deviennent des sages veillant au bien commun et disposés à remettre en cause leur pouvoir par un retour aux urnes dès qu’ils sont contestés ? C’est sans doute peine perdue. Même si tout le monde, tôt ou tard, évolue.
Est-il envisageable de confier cette représentation à des sages ? Des éveillés ? Pourquoi pas, c’est déjà arrivé dans certaines civilisations, et le peuple est très à même de reconnaître cette sagesse. Dans ce cas il ne s’agit pas de candidater. C’est le peuple qui nomme.
Il suffit, comme disait Confucius, que la paix règne dans l’esprit des dirigeants pour que la paix et l’harmonie règnent dans la nation. Politique sans spiritualité n’est que ruine du peuple et de la planète. Ensuite on n’a pas à s’étonner que la guerre civile, ou simplement l’insurrection, ou simplement la violence sociale, soient la règle lorsque les dirigeants n’ont pas cette sagesse. Qui sème la haine sinon l’injustice ?
Ensuite ils se plaignent : « pourquoi tant de haine contre les dirigeants et les élites, comment annihiler la violence ? ». Sans jamais poser la question de la CAUSE de la violence. Si on est aux affaires, on est responsable. Personne n’oblige personne à être au pouvoir. Si on s’y est mis, il ne faut reporter la responsabilité sur personne d’autre.
A cause de ces attitudes irresponsables qui consistent avant tout à privilégier sa caste (représentée par des sociétés secrètes) au détriment du bien commun, les gens se détournent de la politique, puisqu’ils se sentent impuissants. Ils s’abstiennent de plus en plus. Et ils se méfient de tous les corps intermédiaires : partis politiques, syndicats etc.
La confusion a été instillée entre politique et soif de pouvoir. La soif de pouvoir fait office de politique. Alors qu’en fait c’est le contraire : la gestion des affaires de la cité (c’est la « politique ») ne peut être régie par une soif de pouvoir, elle doit l’être par une soif de paix. D’harmonie. Comme au Bhoutan où le « produit national brut » a été remplacé par le « bonheur national brut ». On ne fait pas beaucoup de reportages sur ce petit pays himalayen. Ni sur l’Islande qui a limogé son système bancaire. Ni sur le Costa Rica où le bio est la règle.
La démocratie existe, elle est possible. Pas de politique sans spiritualité. Lorsque la fraternité est souveraine, alors liberté et égalité deviennent conciliables. Et tout va bien.
Mais pour que la fraternité soit souveraine, il faut à la tête de la société des gens qui la pratiquent et l’encouragent. Pas des gens qui se tirent dans les pattes, éliminent leurs opposants, et tentent de tirer tous les profits possibles d’un peuple avec lequel ils ne ressentent aucune unité de cœur.
Sans Connaissance, pas de sagesse, pas de justice, et donc pas de paix.
HYPERSCIENCE ET DEFICIT MORAL
La morale ce n’est pas qu’au sommet de l’Etat qu’elle est nécessaire. Mais comment fonder une morale laïque ?
En général, les religions ont servi de cadre pour générer des comportements sociaux acceptables. Avec souvent la menace du châtiment au-delà de l’humain lorsqu’on ne respecte pas les règles.
Mais ces temps sont révolus. Ce ne sont plus les religions, instruments de pouvoir, qui régissent les comportements. Sauf dans certaines civilisations. C’est le pragmatisme. Chacun établit pour lui-même les règles qui lui permettent de s’en sortir, compte tenu qu’il n’y a plus d’harmonie sociale. La mise en concurrence, chère à la Commission Européenne, organise la guerre de tout le monde contre tout le monde. Pourtant, dès que les choses vont mal, ou dès qu’on commence à se parler, comme sur les ronds-points investis par les « Gilets Jaunes », on s’aperçoit qu’on est un, qu’on n’est pas seul à souffrir de cette situation et à penser de cette façon, qu’on a tous intérêt à s’unir pour changer ce qui peut être changé. Et c’est ce qui se fera petit à petit, espérons-le.
Alors une autre morale, spontanée, naturelle, universelle, renaît. Et c’est celle-là qu’il faut chercher. Elle n’apparaît que lorsque ce sentiment d’unité (« l’autre est moi ») se fait jour. C’est ce qu’on appelle la « Connaissance ». Elle n’est pas forcément rationalisée ni démontrée scientifiquement, elle est simplement ressentie parce que c’est la vérité qui sous-tend l’Etre. Il n’y a qu’une seule conscience, et même si chaque pensée est différente, l’amour est le même.
L’amour nous relie car chacun de nos conscients est dans la même conscience. Et l’amour cela a la même signification pour tout le monde, il n’y en a qu’un.
La morale ne se fonde que sur l’amour.
Lorsque l’on se croit en concurrence (et les politiciens en général se considèrent en concurrence avec le peuple dans un jeu à somme nulle : ce qu’on a c’est en le lui prenant), il n’y a pas de morale possible puisque le jeu consiste à gagner le plus possible, à se protéger le plus possible, au détriment des autres qui, par mimétisme, finiront par en faire autant, l’exemple venant d’en haut. Chacun pour soi et après moi le déluge.
Au contraire, dès que l’évidence de l’unité réapparaît, et elle ne demande que cela, une morale naturelle réapparaît. Il y a de nombreux chefs d’entreprises qui fonctionnent en privilégiant la fraternité et l’intérêt de tous. Et ils ne réussissent pas moins bien.
Des civilisations entières ont été florissantes sur ce principe. C’est la Loi de UBUNTU : « ce qui n’est pas bon pour tous n’est pas bon du tout ». On la pratiquait chez les Zoulous il y a des milliers d’années, et Nelson Mandela l’a un peu remise au goût du jour.
Alors évidemment, avec l’Hyperscience, on peut encourager à aller dans ce sens. Car la Science a le pouvoir sur les esprits aujourd’hui, et tant que l’on pousse à croire au « big bang », et donc au hasard, à la violence souveraine, et à la mort finale, il est difficile de justifier une morale solidaire. Il est au contraire normal qu’on se dépêche d’en profiter au maximum et à court terme au détriment des autres et de l’environnement. Pas de spiritualité là-dedans. Nous sommes matière, nous venons de la matière, et rien ne nous relie sinon une profusion de prétendues lois et constantes universelles qu’on se garde bien de reconnaître comme le signe qu’il n’y a ni hasard ni menace de mort.
Ce qui a caractérisé l’évolution du mental humain, et finalement sa spiritualité, c’est le fait que nous marchions sur deux pattes. De ce fait, il s’est passé quelque chose de tout à fait unique dans le monde animal : nous pouvons regarder nos mains. Et au bout du compte, nos mains sont ce qu’on remarque le plus et en permanence. Tous les autres animaux sont identifiés à leur bouche, à leur sens du goût principalement. Manger est la priorité. Mais les humains, eux, s’identifient beaucoup plus à leurs mains. Car ils voient tout ce que des mains peuvent faire : caresser, agir avec délicatesse, soigner, briser, cogner, construire, et même danser, peindre, et le premier signe de spiritualité qu’on remarque chez les primitifs, c’est le fait de reproduire sa main avec de la peinture sur les parois des cavernes, comme une signature, comme un « je suis », comme si c’était le bien le plus précieux. En tout cas le plus fascinant et le plus passionnant. Ce qui fait dire « je suis différent du reste du monde, j’ai un pouvoir », et qui fait réfléchir : pourquoi ces mains ? Pourquoi je peux faire tout cela ? Pourquoi les autres ne le peuvent pas ?
Voilà comment est née la spiritualité chez l’homme. Et c’est le point de départ de la Connaissance.
Alors de ces mains, comme de tout pouvoir, on use ou abuse en fonction des priorités qu’on se donne. Si la priorité c’est survivre et se reproduire, ce seront des armes. Si la priorité c’est ressentir la paix et l’amour, et cela finit toujours par venir, la fraternité va naître.
Alors les infirmes du cœur qui nous gouvernent vont tout faire pour nous diviser, nous séparer, nous jeter les uns contre les autres afin de mieux régner. Et ils vont nous enseigner le « big bang » et la « matière », et le « hasard », même si personne en fait ne croit à tout cela, pour nous maintenir dans cette ignorance qui fait leur pouvoir.
Mais personne en fait ne nous y oblige. Personne ne nous empêche de réfléchir. Personne ne peut cacher l’évidence. Si on ne la voit pas c’est parce qu’on préfère fermer les yeux, façon de rester en dépendance par rapport à papa-maman-les dirigeants, de leur donner raison et même de les envier, simplement par paresse spirituelle.
C’est fatiguant de réfléchir, encore plus de changer d’’habitudes. Finalement, on n’a que les dirigeants qu’on mérite, et notre morale collective est notre responsabilité.
Mais qu’un seul esclave se lève et c’est tous les esclaves qui se reconnaissent libres. Qu’un seul vous aime et c’est chacun qui se reconnaît amour.
HYPERSCIENCE ET DROGUE
Le phénomène de la drogue est dû en grande partie à sept choses :
1 - A la difficulté d’assumer l’incarnation : s’incarner n’est pas perçu comme une punition ou une malédiction par ceux qui, décédés, ne sont pas montés bien haut parce qu’ils n’avaient pas atteint un haut niveau d’amour universel de leur vivant. Pour eux, redescendre est en fait une bénédiction qui permet de continuer de satisfaire ses désirs.
Par contre, pour ceux et celles qui sont un peu plus évolués, ayant goûté à la douceur de l’unité dans les hautes Sphères, ont parfois du mal à redescendre. Parfois il faut redescendre juste pour résoudre un problème et un seul. Un exercice unique mais pour se confronter à ce défi, toute une incarnation est nécessaire.
Revivre la division, la séparation, la concurrence, voilà qui est insurmontable pour certaines âmes élevées. Pourquoi encore passer par le corps et ses souffrances ? On en a assez. On a vraiment soif de paix.
Et comme quand on arrive dans un corps on ne se souvient plus ni de ce qui s’est passé avant ni pourquoi on est là, certains n’ont qu’une hâte : y retourner par tous les moyens. Un contact avec un paradis artificiel et voilà qu’on y prend goût.
On veut détruire son ego parce qu’on n’a pas envie d’être séparé des autres. Mais que ce soit par le suicide ou autre chose, la complexité de la dualité, avec les responsabilités qui y sont liées, ne peut pas être éliminée autrement qu’en allant au bout de l’incarnation.
2 - A l’excès de stress : le monde est trop lourd à bouger. La vie trop difficile pour beaucoup. A la limite, quand il faut assumer l’inassumable, difficile d’échapper à la drogue. Voir à cet égard les rock-stars : comment un être humain normal pourrait-il faire un concert tous les soirs, être toujours au top pour satisfaire le public, repartir en voiture dès la fin de la représentation vers une autre ville, à peine arrivé répéter et refaire la mise en place, etc. etc.
Quand est-ce qu’on dort ? C’est un extrême, mais il n’y a pas que les stars qui se droguent, faute de quoi elles sentiraient trop la fatigue. Il y a les PDG, les politiciens, les sportifs, et même les étudiants. Si les ouvriers y échappent c’est souvent faute d’argent.
3 - Au manque de cocon familial aimant et à la solitude. C’est la même chose que le sentiment de séparation qu’est l’incarnation.
Vous aurez tout de suite remarqué que la vie en « tribu » (« domaines familiaux ») résolvent directement ces trois problèmes, et les suivants aussi.
4 - au manque de fraternité : la fraternité est le seul moyen de vivre pleinement sa liberté sans toutefois que cela conduise à trop d'inégalités. Faute de cette conscience de fraternité, les classes dominantes occidentales ont fait l'étalage de leur puissance et de leur richesse au mépris de la majorité mondiale maintenue dans la sujétion et parfois la misère. Le résultat est que d'une part les dealers, mais aussi d'autre part les pays producteurs utilisent ce moyen mis à leur disposition par les mafias pour consommer une vengeance compréhensible, conscients de compenser ainsi leur inégalité avec le monde occidental si arrogant. Tant que les classes dirigeantes occidentales persisteront dans leur égoïsme, c'est-à-dire tant qu'elles n'auront pas compris l'unité de l'Humanité et la fraternité qui devrait en découler, il n'y a pas de remède.
L'Hyperscience métaquantique qu'on vous enseigne à l'UFM est le moyen de démontrer à chacun qu'il n'est pas ce qu'il croit, et qu'en conséquence son intérêt réel n'est pas là où il croyait. La fraternité est l'attitude spontanée de celui qui a compris qui il est et ce qu'est l'univers, et cela est à la portée de tous.
Le propre de l'homme est de comprendre.
L'animal peut à peu près tout presque comme l'homme, ou mieux,
sauf comprendre.
Le but de l'UFM est de permettre de comprendre, et donc de faire des hommes ADULTES, INCARNES, REALISES.
Car si on se laisse aller dans le mouvement majoritaire, on est sûr de rester dans l'ignorance avec toutes les « socioses » qui en découlent.
Ca fait toujours du bien une page de pub. Nous avons tous vocation à être des « Enseignants de la Paix ».
5 - à l'incommunicabilité entre les individus et entre les générations, due à l'attachement aux habitudes et à l'identification à l'égo, par peur du changement et de l'évolution. Cela procède de l'ignorance du BUT de l'Etre dont la connaissance permet de se réjouir de toute évolution et de ne pas rejeter ce qui paraît trop nouveau ou trop différent. Il n'y a pas d'autre moyen que la connaissance de soi pour accepter d'emblée ce qui n'est pas soi. Toute contrainte est vaine et ne fait qu'accentuer les conflits ;
6 - à l'intuition que la planète n'a pas d'avenir, l'Economie occidentale lui imposant un rythme d'évolution et une direction incompatibles avec l'épanouissement humain et la sauvegarde de la nature ;
7 - A la déculturation. C’est tellement vrai des gens chassés de leur forêt d’origine qu’on vient de raser ou de brûler, de leur igloo, de leurs racines. Ils ne peuvent tout oublier et s’adapter au monde industriel du jour au lendemain. Pour beaucoup, cette drogue c’est l’alcool. Les Indiens d’Amérique s’y sont perdus. Les pygmées, les Amazoniens, les Inuits etc. aussi.
8 - à l'injustice croissante et à l'accentuation des inégalités dues au libéralisme sauvage qui ponctionne de plus en plus la masse de la population au profit de quelques familles et groupes monopolistiques, ne laissant aucune place à ceux qui n'ont pas tout dès le départ ;
9 - au décalage entre les aspirations spirituelles naturelles de l'humain et la société hypermatérialiste qui oblige à réprimer ces aspirations. Aussi bien la science matérialiste que les religions et les pseudo philosophies modernes sont en contradiction flagrante avec la réalité spirituelle de l'Etre. La remettre au premier plan est le remède.
Il est clair que si les aspirations matérielles sont les seules mises en avant, les seules réputées de valeur, ces inégalités et injustices sont ressenties avec d'autant plus d'acuité et de désespoir.
Lorsque les aspirations spirituelles sont satisfaites véritablement (c'est-à-dire sans contradiction avec la raison), ces injustices et inégalités ne posent pas de problème psychologique.
Elles peuvent être combattues, mais elles ne sont pas source de désespoir. Et lorsqu'on fait partie des nantis (où l'on sait que la drogue est très répandue), l'absence de perspective spirituelle suffit à mener à un désespoir équivalent.
Finalement, c'est la dimension spirituelle qui est déterminante et les classes sociales se combattent d'abord parce qu'elles souffrent du même manque.
Il ne faut pas s'étonner du résultat : si le monde se fonde sur une science affirmant que l'esprit dépend de la matière, l'homme qui se sait intuitivement libre se sent déchiré.
Cela équivaut à une privation de liberté, puisque spiritualité et liberté sont quasiment synonymes : l'aspiration à l'une est l'aspiration à l'autre, et la réalisation de l'une est la réalisation de l'autre.
Un animal privé de liberté ne cherche pas à se reproduire et parfois s'autodétruit. Dans le cas de l'homme, le problème est encore plus grave.
Cette société met une majorité d'individus dans la situation où ils ne peuvent ni fuir ni combattre. Ils ne peuvent pas fuir parce que l'Etat s'approprie le territoire et qu’où qu'ils aillent, ils subissent une loi qu'ils n'ont pas décidée, un contrat qu'ils n'ont pas signé, et dont ils subissent une coercition de plus en plus brutale et systématique (elle est d'autant plus brutale qu'elle est plus impersonnelle et administrative).
Ils ne peuvent pas non plus combattre pour les mêmes raisons. Seuls ceux qui détiennent un pouvoir financier suffisant sont en mesure de faire entendre leurs droits. Les médias de même que la justice constituent des relais d'une puissance colossale constituant le meilleur alibi pour l'auto-entretien des pouvoirs financiers en place.
A aucune époque on n'a disposé d'un tel pouvoir pour broyer un individu gênant simplement en appuyant sur un bouton administratif.
Ni fuir, ni combattre, la dernière issue, on le sait depuis les travaux d'un biologiste célèbre, c'est l'autodestruction.
Actuellement, on se reproduit peu dans les sociétés occidentales, par souci de rassembler toute son énergie pour résister à la pression sociale et étatique et avoir une chance de s'en sortir (un seul enfant pour être sûr qu'il réussisse).
C'est un mauvais calcul, mais il n'y a pas que le conscient qui décide cela. Il y a surtout l'inconscient qui fait diminuer la fécondité par réflexe de défense face aux agressions telles que la radioactivité ou l'alimentation frelatée et chimique (50 % de spermatozoïdes en moins en vingt ans).
La nature, par cette méthode de la diminution de fécondité (entre autres), cherche à éviter plus de souffrance et à se débarrasser de l'espèce humaine qui la détruit.
Tout cela est un ensemble : l'inconscient à qui le carcan du conscient matérialiste est imposé a envie de fuir, de retourner à la source, et les drogues sont le moyen le plus simple et le plus radical d'échapper à la souffrance et à l'absurde. Elles permettent des états de conscience que, normalement, seule la spiritualité permet d'atteindre.
La spiritualité est une solution beaucoup plus naturelle et sans danger, la seule vraiment efficace puisque les évolutions ainsi obtenues sont acquises, alors qu'au contraire celles perçues par la drogue sont provisoires, dénaturées, et surtout empêchent une évolution normale en habituant à la facilité et en rendant insurmontables les efforts nécessaires à de vraies prises de conscience.
La fuite du réel semble permettre de brûler les étapes mais il n'en est rien. Elle ne brûle que le psychisme qui a absolument besoin de la vie concrète dans le réel pour faire ses prises de conscience et évoluer vers une vraie liberté.
Pour ceux qu'une raison solide a maintenus dans une approche spirituelle lucide de la vie, l'absurdité du monde actuel n'est pas motif de désespoir. C'est au contraire un encouragement à rester présent dans le monde et à s'y battre pacifiquement.
Empêcher un tel individu et de fuir et de combattre devient inopérant, une fois qu'il n'a ni envie de fuir ni envie de combattre, simplement d'agir à la source.
Comme disait Gandhi : « vous pouvez emprisonner mon corps, vous ne pouvez pas emprisonner mon âme, et c'est elle qui vous vaincra ».
Souvent ceux qui se droguent sont à deux doigts de la libération et du pouvoir spirituel. Il n'y a qu'à écouter les paroles des chansons Rapp ou Reggae pour s'en rendre compte.
Un petit coup de pouce côté Logique et côté rationalité, avec l'exemple de quelques êtres réalisés comme Gandhi (mais il y en a d'autres à toutes les époques), et au lieu de se détruire ils deviennent des artisans d'une société fraternelle.
L'usage de toutes les drogues et toutes les tentations suicidaires peuvent donc être réduites si on parvient à insuffler la foi en soi et en le but de l'Etre là où elle n'est pas, en s'adressant à la rationalité de l'individu.
Ceux qui ont déjà naturellement la foi qui rend responsable n'ont évidemment pas besoin de Logique pour comprendre le sens de l'existence, mais les autres, oui. C'est de cela dont l'homme, et les jeunes en particulier, ont besoin pour croire en eux-mêmes.
Aucune vie n’a de sens si LA vie n’a pas de sens.
Comment être heureux si l’on vient du hasard ?
HYPERSCIENCE ET SUICIDE
Peu de différence entre suicide lent et suicide express. Tout du moins lorsque la cause réelle n'est pas ponctuelle. Un événement subi est rarement la cause. C'est seulement le facteur déclenchant.
L'Hyperscience métaquantique est un élément souvent déterminant pour rendre le recours au suicide impossible. L'envie de mourir est généralement issue d'angoisses ou d'incompréhensions d'ordre métaphysique. Les réponses de la société actuelle sont inexistantes. Celles qu’on tente de donner ici peuvent aider de trois façons :
1°) elle démontre la responsabilité créatrice de l'individu pour son bien, moyen extraordinaire de relativiser la souffrance et d'en comprendre les tenants et aboutissants. « Comprendre le pourquoi permet de supporter presque tous les comment » ;
2°) sans comprendre ce que c’est que l'esprit et son origine, comment comprendre le processus de la mort et de la vie après la mort ? Le suicide est le contraire d'une libération, obligeant à revivre ce qu'on a fui dans des conditions encore plus difficiles.
Le seul moyen de se débarrasser d'une situation ou d'un état durable est d'en comprendre la genèse et d'y faire face comme exercice d'évolution, aboutissant à la joie, une fois compris le but de l'existence. Tant que ce but n'est pas compris, il n'y a pas de solution. Quand il est compris, la gratitude pour tout ce que procure la vie, quoi que ce soit, se traduit par la joie tout simplement, et par la passion ;
3°) Le besoin de compréhension est à l'origine de toutes les angoisses métaphysiques. On sait bien que comprendre peut donner tout son sens à l'existence. Cela suffit pour vacciner contre toute tentation de quitter une vie à laquelle, quoi qu'on fasse, on ne peut pas échapper. Le seul moyen de ne pas subir l'existence c'est de s'en reconnaître le créateur.
Désolé pour cette page de publicité encore superflue, mais un jour, bien sûr, on enseignera l'Hyperscience dès l'école, et c'en sera fini de bien des déboires sociaux et drames individuels liés à l'incertitude, au doute, à la peur, au mensonge. Les anges ne se suicident pas.
Tant que les subventions vont à l'ignorance et non à la Connaissance, il faut trouver le moyen de faire bénéficier ceux qui sont dans le désarroi existentiel de cette possibilité de guérir leur relation au monde et à eux-mêmes en élucidant le grand mystère de l'Etre.
L'homme n'a pas toujours marché sur la Lune mais aujourd'hui cela n'étonne plus personne. Pour la connaissance, c'est la même chose. Il faut bien que l'Humanité évolue.
Aujourd'hui elle se chamaille encore sur des théories et des doctrines souvent sous-tendues par l'orgueil et l'égotisme, mais demain elle aura oublié ces querelles lorsque la cause réelle de l'univers ira de soi, pour tout le monde.
Il n'y a aucun orgueil dans le fait d'offrir de l'eau à ceux qui ont soif. Mais il est de la nature de la conscience de s'opposer à sa source. Si elle ne le fait pas, elle ne peut pas être et se maintenir. Donc son attitude naturelle est de refuser la Connaissance et de la nier. Jusqu'au jour où elle s'aperçoit que la voir en face ne la remet pas en cause mais au contraire permet son épanouissement. Et que la joie éternelle, ou pas loin, peut en être le fruit.
HYPERSCIENCE ET SURDOUES
Aujourd’hui plus que jamais, des générations entières de jeunes viennent s’incarner, venant de notre futur, pour prendre les choses en main vibratoirement.
Ce sont eux qui peupleront cette cinquième Densité, mais ils débarquent aujourd’hui dans la troisième, et c’est vraiment dur pour eux. Déjà c’était dur pour les enfants indigo de la génération précédente, aujourd’hui comme le niveau est encore largement plus haut, c’est presque insupportable.
Evidemment cela conduit à la rupture avec l’école, avec la famille, avec l’emploi, et souvent cela mène aussi à l’autisme : il n’y a pas de communication possible.
On peut considérer cela comme une cause supplémentaire de recours à la drogue, au suicide, voire au crime, et comme évidemment ils ignorent souvent (pas toujours) pourquoi ils sont là et se sentent généralement hyper-seuls, sans copains ni parents avec qui échanger un tant soit peu, il est clair que l’Hyperscience est faite pour eux.
Là ils se reconnaissent, et grâce à cela ils peuvent se rencontrer. C’est à cela que sert entre autres le Centre Ganymède et notre webTV. Il faut bien qu’ils s’aperçoivent un jour qu’ils étaient attendus, et que leur mission leur soit révélée.
HYPERSCIENCE ET CHOMAGE
Souvent on attribue au chômage la cause principale de la drogue, de la délinquance et du racisme. C'est sans aucun doute un facteur terriblement aggravant. Mais la tendance est à travailler de moins en moins et cela devrait être au contraire un facteur de plus grand bien-être et de plus grand épanouissement si les adaptations se faisaient au bon moment.
Visiblement, l'augmentation du chômage n'a pas eu pour corollaire la diminution de l'offre de biens et services, bien au contraire. Cette augmentation de la productivité ne peut être qu'un facteur bénéfique, elle n’est pas incompatible avec la décroissance, indispensable aujourd’hui. Mais il n'y a pas que l'augmentation de la productivité, il y a aussi la délocalisation du travail. Et la robotisation. La technologie a peut-être fait le bonheur de la lavandière, mais elle mène aussi au désespoir.
On s'oriente vers un schéma absurde où il y aurait des nations prolétaires qui produisent, et des nations consommatrices. Cette tendance du libéralisme dur suffit à le condamner. Les Etats doivent intervenir. Théoriquement ils sont là pour cela.
Au lieu de cela, tout est fait pour accentuer le phénomène. Il y a des décennies qu’il a été décidé que la France ne devait plus être un pays ni industriel ni agricole, mais purement touristique. Que l’industrie c’était pour l’Asie, et l’agriculture pour l’Amérique.
Et c’est bien ce que les gouvernements successifs en France se sont ingéniés à faire, prétendant évidemment qu’ils veulent défendre les agriculteurs et les industries locales. Mais c’est évidemment totalement faux. Les agriculteurs sont poussés au suicide et les « fleurons industriels » vendus au plus offrant.
Tant mieux si les ouvriers soient remplacés par des machines à condition que les robots soient taxés et que la redistribution induite permettent aux humains de vivre confortablement.
C’est l’esprit du « revenu universel » dès la naissance. Les gains de productivité doivent permettre de répartir mieux le temps de travail sans incidence sur le pouvoir d'achat, si l'on veut une politique globale saine (dans la non-autonomie évidemment. Se rendre autonome une famille à la fois n'empêche pas que le grand nombre peut aspirer à vivre mieux). Il est plus sain de diminuer le temps de travail sans variation de salaire que d'augmenter les salaires lorsque la productivité augmente, car cela ramène un peu d'égalité au lieu d'accentuer les inégalités selon les secteurs.
En tout cas rien ne doit être fait pour pousser à l'embauche. C'est une politique absurde. On ne paie pas une entreprise pour qu'elle augmente son personnel si elle n'en a pas besoin. Ces politiques ont toujours coûté très cher et n'ont jamais abouti au résultat escompté. Il faut se réjouir de la diminution de besoins en personnel et en profiter pour permettre à l'individu de s'épanouir davantage au lieu qu'il se sente exclu ou dévalorisé. Si on voulait le bonheur des peuples, ce sont des transferts de temps plus que d'argent qui seraient effectués.
L'épanouissement passe par la créativité, puisque nous sommes créateurs. Il est souhaitable que les emplois non créatifs disparaissent petit à petit. C'est le cas. Encore faut-il que les personnes concernées ne se retrouvent pas désorientées (déprime, drogue et suicide de nouveau). Elles le sont si leur créativité est insuffisante.
Dans ce cas, elles ne voient pas l'avantage qu'elles peuvent en tirer. Les autres en profitent toujours pour développer une idée ou réaliser leurs rêves car elles ne se sont jamais identifiées à un travail non épanouissant.
Que ceux qui font un travail épanouissant le fassent cent heures par semaine s'ils le désirent. Le partage n'a pas à être forcé, il ne doit s'appliquer que là où il est utile et le critère est l'épanouissement, c'est-à-dire la créativité.
Or il est de la nature foncière de l'homme de créer. Ceux qui ne créent pas ne se connaissent pas. La découverte de soi (pas seulement par l'Hyperscience d'ailleurs, il y a bien d'autres techniques d'épanouissement) aboutit toujours à un accroissement inattendu de la créativité.
Rendre cela possible est le but à poursuivre en matière de politique de l'emploi, pour le plus grand bien de la communauté à terme. Il y a fort à parier que si les adaptations sociales et psychologiques sont bien gérées, la diminution du nombre d'emplois non qualifiés ne donnera lieu à aucun accroissement de la délinquance.
Bien entendu, cela suppose aussi une certaine intervention au niveau du pouvoir d'achat des personnes concernées, mais dans des proportions sans commune mesure avec ce qui se fait actuellement, du fait de la participation des bénéficiaires des gains de productivité à ces transferts, et de la mise en oeuvre de toute cette créativité.
Evidemment, toutes les bonnes idées au niveau du fonctionnement de la société risquent de tomber d’elles-mêmes du fait des migrations climatiques qui vont nous occuper pendant les cinquante prochaines années. Mais là aussi, des solutions peuvent se faire jour quand la vision change. Seront-elles écoutées, c’est une autre affaire.
Ce n'est pas parce que tout le monde travaille qu'il y a plein emploi. De même que ce n'est pas parce qu'on mange à sa faim qu'on est nourri. Le plein emploi est le plein emploi des vraies ressources humaines, leur emploi là où l'homme y trouve son compte et non y perd sa vie. C'est de plus en plus possible, et l'harmonie sociale en dépend. Ne pas tenir compte de ces réalités, c'est cela qui est irréaliste.
L'utopie c'est croire que le monde peut continuer comme cela.
Le travail est autant un problème que le chômage. Le travail est un problème dans la mesure où il est une contrainte excessive, non épanouissante, privant de sa vie familiale, et sous-rémunérée. Sinon il n'en est pas un. Et le chômage est un problème du fait de cette première contrainte. Si le travail n'était pas une nécessité vitale, et également s'il était rémunéré largement pour peu d'heures, le chômage ne serait un problème pour personne.
Les rémunérations devraient évidemment être fonction de la richesse globale. Mais l’appropriation des profits par des minorités ne va pas dans cette direction.
Il n'y a de problème que par manque de créativité. C'est à moi qui souhaite ne pas consacrer un tiers de ma vie à la réunion de mes moyens d'existence d'inventer des méthodes pour y consacrer beaucoup moins de temps ou/et en gagnant beaucoup plus.
Hélas, c'est un autre qui a trouvé le moyen. C'est en me faisant travailler pour lui qu'il y parvient. Marx appelait cela l'exploitation de l'homme par l'homme. Au fond, cela paraît inévitable.
Tout le monde n'a pas vocation à organiser et à commander. Beaucoup préfèrent être pris en charge et ne pas avoir à décider. Mais ceux qui dirigent doivent, en bons chefs, en « bons pères de famille », considérer qu’ils n’ont pas à s’approprier la richesse produite par leurs subordonnés. En tout cas pas de façon excessive comme c’est le cas actuellement.
Celui qui a compris (et d’abord accepté de comprendre) qui il est n'a pas envie d'être pris en charge, il a acquis confiance en lui, et se sent apte à décider son destin. Sa créativité s'est réveillée. Il n'est pas pour autant obligé de commander quiconque, mais si c'est le cas, il le fait dans le respect fraternel de l'autre.
Exploiter l'autre, c'est comme exploiter la nature. C'est ne rien avoir compris à l'univers. Tout est mon corps, et j'en ai la responsabilité. L'exploiter c'est m'autodétruire. Comme si j'allais voler mon propre bras pour le vendre sur le marché ou creuser dans mes os pour en tirer des matériaux de construction.
Il ne s'agit pas ici d'apporter des solutions concrètes à des problèmes économiques, mais de mettre en évidence les attitudes erronées qui font du monde un enfer alors que cela pourrait être un paradis.
Si j'ai compris que l'autre et moi sommes un, indispensables l'un à l'autre (aurais-je la même attitude brutalement indifférente vis-à-vis d'un inconnu voisin si nous étions les deux derniers survivants de la planète ?), mon premier souci est de lui faire plaisir, de l'aider à s'épanouir, à s'enrichir, à atteindre ses buts. Au lieu de cela, comme je me crois séparé, je suis jaloux, envieux, en concurrence, et si je peux lui nuire et l'empêcher de réussir, je le fais.
L'exploitation de l'autre procède de cette ignorance, et jamais il n'y aurait la moindre tension sur le front des salaires ou de l'emploi si chacun avait conscience de cette unité. Il y a fort à parier que le pouvoir d'achat serait suffisant pour tous dans des conditions bien moins contraignantes.
Ceci peut paraître naïvement idéaliste, mais tous ceux qui savent cultiver une relation positive à l'autre, en l'aidant avant de vouloir en tirer profit, et réciproquement, s'aperçoivent que le produit global augmente et que chacun est largement gagnant.
Eh bien cela n'est nullement naïf mais tout à fait réaliste dans la mesure où la compréhension de la vraie nature du soi comme relation et non comme pôle de la relation est de nature à changer radicalement les comportements.
Un simple, très simple changement de rationalité, et par suite, de conception de l'univers. Tout le monde veut que cela change, ou que la vie change. Il convient de prendre conscience que cela ne peut se faire que par un changement de concepts au plus profond de soi, que les démonstrations pour y parvenir sont disponibles, et que leur efficacité sociale est certaine.
HYPERSCIENCE ET ECOLOGIE
Exploiter l’homme ou exploiter sa mère, c’est idem. Tant que l'homme croira que la Terre est un tas de matière sur lequel d'autres tas de matière ont tous les pouvoirs, il va de soi qu'il continuera à l'exploiter inconsidérément. Mais il est désormais possible de lui démontrer que cela est faux : la Terre, tout comme l'univers dans son entier, est un être vivant spirituel dont l'homme est une partie indispensable au même titre que tous ses autres organes, et il ne peut que se détruire lui-même lorsqu'il ne la respecte pas.
Ce n'est qu'avec une conception juste, au niveau collectif, du lien d'identité entre esprit qui pense et univers qui est pensé, qu'un comportement juste de respect et d'amour est envisageable.
Le sentiment écologique suppose une identification de l'individu à ce qui nous relie et non à ce qui nous sépare. La reconnaissance de l'unité entre soi et autrui est la source de la compassion et du refus de détruire, de tuer, de faire souffrir. Le sentiment écologique correspond à un degré de jugement et de maturité spirituelle plus développés que dans la croyance en la séparation de l'Etre en fonction de la séparation des corps. C'est pourquoi écologie et capitalisme libéral sont incompatibles. Ou bien on privilégie l'intérêt personnel et immédiat, ou bien on privilégie les générations futures.
Moïse a bien pu offrir une Torah à son peuple, celui-ci l’a jetée aux orties et s’est vite remis à adorer le veau d’or. Il manquait quelque chose à sa Genèse : réformer le mental.
Cette erreur qui conduit à s'identifier au corps (donc à ce qui nous sépare) conduit à défendre les intérêts individuels sans se préoccuper de ceux de la communauté. C'est le propre d'options matérialistes aujourd’hui invalidées : l'Etre n'est pas son corps mais l'énergie collective qui contient tous ces corps. Nous ne sommes pas plusieurs esprits ayant chacun un corps, mais UN SEUL ESPRIT ayant une multitude de personnalités matérielles apparentes toutes reliées et toutes indispensables.
Aujourd'hui, même la Physique quantique, pourtant partie de fondements matérialistes, aboutit à l'évidence que tout est relié et que la réalité n'est pas matérielle mais spirituelle.
Il lui reste à admettre que ce spirituel est un but inaccessible et rien d’autre pour que la sensibilité humaine s’autorise à reconnaître ce qui nous relie au lieu de toujours défendre ce qui distingue de l'autre.
Une sensibilité non-matérialiste, nécessairement tournée vers le but, puisque ce qui nous relie, c'est ce But originel. Comment accepterait-on encore qu'on tue les animaux, qu'on répande des produits radioactifs dans la nature (et si les voitures deviennent électriques prétendûment par souci écologique, on saura encore moins où mettre les déchets nucléraires qui se multiplieront), ou qu'on détruise les forêts pour laisser de l'espace aux élevages de bétail afin de produire la viande nécessaire aux hamburgers ?
Accepterons-nous encore l'usage du chlore dans l'eau notamment, principal responsable de la destruction de la couche d'ozone, et du fluor qui sclérose... jusqu'à l'explosion. Ou la réforme.
Hélas, ceux qui tiennent les leviers de commande du commerce international n'ont pas cette sensibilité unitaire, et n'ont que faire des coups de griffe que leur portent les écologistes.
Il en serait tout autrement si, par l'appel au mental et à la Logique élémentaire, ces responsables découvraient subitement qu'ils se sont trompés toute leur vie, qu'ils ne sont pas ce qu'ils croyaient, qu'après eux ce sera encore eux qui subiront le déluge, et qu'en fait ils travaillent à leur propre malheur, qui sera déjà terrible dès l’instant qu’ils n’auront plus ce corps.
L'ignorance n'est qu'un travail permanent d'occultation de la connaissance. Lorsque, malgré ce travail généralement inconscient, la vérité est mise au grand jour, elle est immédiatement reconnue et les vieilles certitudes s'effondrent sans espoir de retour. Il devient impossible de continuer dans la voie de l'erreur sans culpabilité ni doute permanent. Bientôt, on change de camp. Telle est la révolution douce face à la dictature molle.
La Révolution mentale, c'est l'effondrement des vieilles valeurs aveugles de l’ego. Il n'est plus possible de renvoyer les doctrines dos à dos, le spiritualisme va gagner, il faut s'y faire. Plus on résistera, plus on souffrira. L'arme absolue de l'Ecologie est aujourd'hui en vente libre, c’est l’Hyper-rationalité.
HYPERSCIENCE ET RACISME
Les hommes sont beaucoup plus que des frères, et leurs différences sont absolument indispensables à chacun. C'est ce que démontre l'Hyperscience. En effet, il est désormais scientifiquement prouvé qu'il n'existe qu'un seul esprit, et que cet esprit a une infinité de formes extérieures (et de points de vue de l'univers) tous différents. Non seulement il est absolument impossible que deux personnes soient semblables, mais encore il serait impossible à chacune d'exister si chacune des autres n'était ce qu'elle est. Il ne s'agit plus aujourd'hui de tolérance, mais de véritablement remercier autrui quel qu'il soit pour sa différence, psychologique, physique, raciale, idéologique ou autre, car si tu n'étais pas ce que tu es où tu es, en aucun cas je ne pourrais être moi.
Peu importent les statistiques de l'INSEE sur l'immigration, on sait qu'il n'y a jamais d'études sérieuses traitant de sujet sensibles comme le chômage, la pollution, les maladies dues à l'alimentation, aux écrans cathodiques des télévisions et ordinateurs, aux fours à micro-ondes ou encore aux téléphones portables, ou en ce qui concerne les accidents nucléaires ou l'immigration.
On n'a pas fini de découvrir des scandales politico-industriels du même genre que l'amiante ou le sang contaminé. Un jour les populations comprendront qu'une classe politique non consciente de l'unité de l'Etre et de la nature, identifiée à la matière, à l'argent et au pouvoir qu'elle possède, ne peut avoir l'intérêt collectif pour préoccupation première.
Chaque fois qu'on veut lutter par la force contre une tendance naturelle, on l'accentue. Et le racisme est une tendance primaire naturelle puisqu'elle consiste à sauvegarder l'acquis génétique ou social.
L'Etat, parfois avec les meilleures intentions, accentue les conflits et les drames en voulant agir sur les symptômes sans se préoccuper des causes. Les causes de tout comportement étant avant tout métaphysique (les causes émotionnelles y sont subordonnées), seule la clarification métaphysique est durablement et profondément thérapeutique.
Mais on ne voit pas comment une Psychologie classique qui ignore ce que c'est que l'esprit pourrait obtenir des résultats tangibles. Rien d'étonnant à ce que la mode soit à l'usage de la chimie en Psychologie. Et rien d’étonnant à ce que les plus gentils deviennent fous. Les vrais fous sont les ignorants qui veulent imposer leur ignorance.
La mission de l’Etat est de préserver l'intérêt réel des populations, et non les intérêts égotiques ou névrotiques. Et dans ce but, il se doit d'aider à l'expression de toutes les opinions en même temps que de mettre la rationalité absolue à la disposition de tous afin que le choix soit fait en conscience par chacun. Evidemment, lorsque l'ignorance est reine, on ne voit pas de raison d'utiliser cette liberté à des fins thérapeutiques.
Mais lorsque l'ignorance n'est plus au pouvoir, l'Etat et son personnel politique peuvent montrer l'exemple. Alors chacun est en état de reconnaître où se trouve son réel intérêt. Mais cela ne peut se faire, comme le disait le grand sage Confucius, que si, au plus haut niveau de l'Etat, on trouve non pas des professionnels de la politique mais des sages.
Le racisme est un aspect de l'ignorance. Comme le sexisme, il procède de la défense du MOI contre l'autre par méconnaissance de ce que c'est que soi et ce que c'est que l'autre. Il est d'ailleurs significatif que les groupes les plus racistes soient aussi les plus sexistes et les plus intégristes sur le plan religieux.
Tant que l'Etat est un Etat de division, de développement de la haine contre certains types d'individus et de comportements, ou de diabolisation, le racisme ne peut reculer, quels que soient les efforts législatifs et répressifs. On a les politiciens qu'on mérite, dit-on, il n'en reste pas moins que l'attitude d'un dirigeant est forcément contagieuse. On le constate dans l'entreprise où l'ambiance dépend directement du comportement du chef de service.
Cela dit peu de gens, très peu de gens sont racistes (bien qu’on prétende le contraire). En France en tout cas. Mais c’est culturel selon les peuples.
Seule la connaissance du Soi, enseigné à tous dès l'école, et mis en pratique à tous les niveaux de responsabilité, peut rendre à la société humaine un peu d'harmonie et de compassion pour ceux qui sont rejetés, quelles qu'en soient les raisons, physiques, raciales, sexuelles, psychologiques, idéologiques ou autres.
Soi est constitué de tous les comportements humains, tous indispensables à chacun.Le rejet ne fait jamais rien disparaître, au contraire.
C'est une loi ontologique.
Aucun des comportements que les sociétés tentent d'éliminer n'a jamais disparu, que ce soit la délinquance, la prostitution, l'alcoolisme, la pédophile, telle option politique ou religieuse, ou autres. Tous ces comportements ou idées qui choquent certains sont de tout temps et de tous lieux, et ne sont là que pour nous apprendre à construire l'harmonie sur la compréhension mutuelle. C'est à cela que la diversité sert. On finit toujours par s'apercevoir qu'il n'y a pas d'autre issue que l'amour. C'est un long, très long apprentissage.
Nous entrons dans une ère où cela est de mieux en mieux compris. En France on peut être à la fois communiste, homosexuel, juif et indonésien sans que cela choque et sans perdre ses droits.
C'est une grande victoire de la fraternité même s'il y a encore beaucoup à apprendre. La France a la vocation d'un pays phare sur le plan social depuis la Révolution maçonnique du XVIIIe siècle, et à présent pour aider à notre entrée dans ce que certains appellent l'Ere du Verseau ; et un des signes fondamentaux de cette évolution est la place prise par les femmes à tous les niveaux de responsabilités.
Lorsque les femmes ne seront plus opprimées parce qu'elles sont femmes, les noirs parce qu'ils sont noirs, et les amateurs de choucroute parce qu'ils sont amateurs de choucroute, il ne faudra pas oublier que l'étape suivante est de ne plus opprimer les animaux parce qu'ils sont animaux.
Leur condition dans les sociétés industrielles est effroyable. Le pouvoir juste consiste à défendre celui qui n'a pas la parole face à celui qui la monopolise. On appelle cela « l’anti-spécisme ».
Ce n'est pas un problème secondaire. Ou bien je suis juste et mon pouvoir est légitime, ou bien je ne le suis pas.
Le respect de la vie humaine ne veut rien dire. Ou bien je respecte la vie ou bien je ne la respecte pas. La vie ne s'arrête pas à l'homme. C'est la même partout. Il est totalement absurde et irresponsable de prétendre défendre l'homme sans défendre ce qui le constitue.
HYPERSCIENCE ET « SECTES »
On sait bien que toute cette accumulation d'erreurs et de crimes sociaux dont notre civilisation est devenue spécialiste : drogue, racismes, oppression financière et culturelle, destruction et irrespect de l'autre et de l'environnement, ignorance organisée, irresponsabilité politique etc., a des résultats.
Ces résultats, quand ce n'est pas le suicide des plus faibles, est la tentative de fuite dans les sectes (mais on ne peut pas tout mettre dans le même sac), ces groupements en plein développement qui permettent de changer d'Etat et de société, au sein desquels ceux qui se laissent séduire perçoivent trois types d'avantages :
- la prise en charge : un chef de secte, pour réussir, doit être un papa qui dit à ses enfants ce qu'ils doivent manger, ce qu'ils doivent penser, comment ils doivent aimer, et les maintenir dans une dépendance infantile qui est souvent l'aspiration la plus profonde des adeptes. On trouve l'autorité parentale (dont beaucoup sont en manque depuis leur enfance) sous forme détournée dans les sectes, et on ne peut reprocher à un commerçant d'exploiter un marché porteur. Vous ne savez pas décider ?
Je m'en charge, confiez-moi vos économies. Il n'y a pas que les sectes et les religions qui vivent du besoin d'avoir un papa. Il y a aussi les partis politiques, les armées, les banques et les groupes industriels. Tout est manipulation dans notre société, la télévision et la publicité au premier chef, et avec des moyens infiniment plus puissants que les sectes. C'est aussi une tendance naturelle de l'Etre que de manipuler l'autre pour arriver à ses fins égotiques.
En amour, qui ne l'a pas fait ? Ne le font plus ceux qui ont compris qui ils sont. Si l'on veut commander à tout prix, c'est qu'on a encore trop de choses à apprendre pour en avoir le droit. Les vrais hommes d'Etat sont ceux que les circonstances ont poussé à accepter une mission de durée limitée, et non ceux qui consacrent leur vie à la conquête du pouvoir.
Il est clair qu'être pris en charge est tentant pour beaucoup, épuisé par l'existence. Là encore, lutter contre ceux qui répondent à ce besoin est absurde. C'est bien facile une fois qu'on a entretenu le besoin de prise en charge par tous les moyens. La solution est pourtant simple. Une fois qu'on a compris la source de ce besoin et la vraie nature du Soi, on a plutôt envie de se rendre utile à la communauté que se faire prendre en charge, et les autres besoins que peuvent combler les sectes sont satisfaits mieux, plus vite et moins cher.
- Deuxième besoin auquel les sectes proposent une réponse : la connaissance. Dans la plupart des sectes, il y a un enseignement. Il vaut ce qu'il vaut, il est parfois plein de superstitions et de rituels discutables, mais en général, il dit grosso modo les mêmes choses : que ce soit en Scientologie, au Temple Solaire, chez les Rosicruciens ou les Francs-Maçons, on enseigne que l'esprit est créateur, que l'homme est en relation énergétique avec tout l'univers, que la mort n'existe pas, qu'il faut méditer et manger sainement, et que la première des disciplines est de vénérer Dieu ou son représentant.
Qu'on soit d’accord ou pas, il faut reconnaître que ces enseignements, même imparfaits, sont souvent infiniment meilleurs que tous ceux enseignés officiellement dans les Universités où l'esprit est totalement ignoré. L'enseignement des sectes permet de redonner à l'intuition toute sa place, réprimée par les doctrines scientifiques, médicales, religieuses ou psychologiques dominantes, et on ne réprime pas impunément une dimension de l'homme aussi importante que la spiritualité.
La responsabilité collective dans le développement des sectes est donc patente. On voit mal comment elles pourraient ne pas se développer puisqu'on leur laisse le monopole de tout ce qui est le plus important pour l'être.
Et l'infantile espérance qu'on va ramener les brebis dans le "droit chemin" simplement en affirmant avec plus de force encore les piètres explications scientifiques, religieuses ou pseudo-rationnelles qui continuent de nier l'évidence, est vaine.
Ces tentatives ne peuvent que produire l'effet inverse : la preuve que le discours officiel n'a décidément rien à dire sur l'Etre, la mort, l'esprit, l'existence, chaque jour réitéré dans les grands médias et même la presse scientifique, ne peut qu'accélérer le mouvement et produire un effet de vases communicants entre la société dominante et les sociétés parallèles que sont les sectes.
Là encore, on se garde bien de s'intéresser aux causes réelles. Les sectes ont encore de beaux jours devant elles. Et plus on les réprimera, plus la preuve de leur utilité et de leur importance face à la société dominante sera affirmée. Ceux qui n'en avaient jamais entendu parler commenceront à s'y intéresser.
La seule solution, si l'on veut éviter non pas les sectes (tout le monde devrait avoir le droit de participer à la société qu'il souhaite, avec les croyances qu'il souhaite), mais les excès et les escroqueries liées à certaines sectes, est que l'Etat prenne en charge l'enseignement spirituel de la population et de façon généralisée, libre et gratuite pour ceux qui le souhaitent.
Non pas comme un endoctrinement ou un catéchisme, ce serait ridicule, mais comme la présentation normale de toutes les doctrines enseignées dans les différentes sectes et traditions religieuses. Mais pas par des professeurs de l'Université (officielle) : par les auteurs et les adeptes de ces doctrines eux-mêmes. Sinon c'est impossible.
La dimension relationnelle d'un enseignement spirituel est essentielle. La décrire extérieurement et mentalement est sans intérêt. De la sorte, chacun pourra exercer son discernement et savoir en connaissance de cause ce que vaut telle ou telle doctrine, et sera généreusement abreuvé de toutes les idées et expériences concernant la vie, la mort, la sainteté, la religion, la raison, l'amour, l'éternité etc.
Des choses infiniment plus importantes que l'Economie, la Bourse, la Météo, la mode, la pornographie ou les dernières aventures des présentateurs TV.
En démocratie, le libre-accès à toutes les doctrines, organisé par l'Etat, est la seule attitude à avoir si l'on veut que chacun ait la même liberté de choix. Et les mouvements qui ne voudront pas se prêter à ce jeu feront la preuve que leur but n'est pas de divulguer la connaissance, mais de la faire payer au prix fort.
Quoi qu'il en soit, il est clair qu'il n'y a pas besoin de sectes pour avoir une connaissance élevée de l'Etre et des Lois de l'univers. Les livres peuvent suffire. Mais ce n'est pas une raison pour que l'Etat ne s'y investisse pas. Connaîtrions-nous les philosophes s'ils n'étaient enseignés au lycée ?
- Il n'y a pas non plus besoin de vivre en communauté pour manger bio ou se soigner avec des remèdes naturels, pour méditer ou faire de la pensée positive, ce qui constitue le troisième besoin que les sectes peuvent satisfaire. Quantité d'associations pratiquent et font pratiquer ces disciplines, qui n'ont rien à voir avec des sectes, et dont l'utilité sociale devrait être récompensée alors qu'elles sont aujourd'hui montrées du doigt (ou carrément persécutées) parce qu'elles font des choses étranges qui remettent en cause l'égotisme et l'ignorance (et le système économique). Il ne fait pas de doute que le yoga, la méditation, les techniques de magnétisme et d'Energétique, sont indispensables à l'homme. Il n'y a qu'à voir quelle société est construite sur leur rejet. Que l'Etat reconnaisse leur utilité publique, les subventionne, et c'en sera fini des sectes dangereuses.
Au lieu de cela, l'Etat jusqu'à présent a choisi la guerre. Funeste erreur qui n'anéantira aucun besoin de spiritualité non liées aux anciennes Eglises (70 ans de communisme n'ont pas suffi à tuer le sentiment religieux dans les pays de l'Est. Mille ans n'y auraient pas suffi non plus), mais anéantira un peu plus encore la légitimité de l'Etat, faisant une fois de plus la preuve que ce qui le préoccupe n'est pas l'intérêt de la Communauté, mais bien des intérêts particuliers.
C'est la peur qui anime ceux qui ne savent où ils vont et ce qu'ils font, et s'accrochent aux chimères de pouvoirs et avantages lobbystiques. L'Etat a mieux à faire. L'attente des populations est si grande !
Besoin de prise en charge par une communauté ou par un maître, besoin de connaissance spirituelle, besoin de discipline de vie harmonieuse, les raisons profondes du recours aux sectes se heurtent à une carence totale du côté de l'Etat qui jette donc tous ces assoiffés dans leurs bras.
S'il persiste à ne pas prendre les responsabilités qui sont les siennes, et on voit mal comment des politiciens préoccupés avant tout de pouvoir matériel pourraient avoir quelque chose à proposer dans ce domaine auquel ils ne comprennent souvent rien, il existe toujours, bien entendu, la rationalité totale(on commence à le savoir), qui seule permet de supprimer tout risque de dépendance en satisfaisant le besoin de compréhension de l'esprit. L'initiation vraie sans secte ni guru en quelque sorte.
Il ne faut plus se cacher la tête dans le sable, toutes les tares de notre société correspondent à des besoins profonds auxquels la répression n'est jamais une réponse.
Il est clair pour tous ceux qui ont déjà réformé leur mental et accepté les remises en cause de la pure rationalité, que la solution pour que nos enfants ne deviennent pas les victimes et les acteurs de toutes ces socioses, c'est de faire tout ce travail d'étude sur soi, sur l'univers, et sur les causes de la souffrance. Alors, la solitude de l'Etre à laquelle toutes les expériences de la vie conduisent tôt ou tard ne sera plus jamais source de désespoir ou de désarroi, et l'autonomie psychologique et comportementale que cette compréhension et cette acceptation génèrent ne laisse plus aucune place à une dépendance quelle qu'elle soit. L’AUTONOMIE commence par là.
Tout enseignement qui ne conduit pas à la liberté est une prison.
Toute ignorance est dépendance.
Toute dépendance est une fuite de l'évidente solitude de l'Etre.
La solitude de l'Etre n'est pas un facteur d'isolement de l’ego. La reconnaître est au contraire le point de départ de l'amour vrai et de la communication vraie. L'autonomie c'est d'abord psychologique.
–
Conférence de Frank Hatem DSD, à Paris en 2018, où il expose les principes généraux à la base de l'Hyperscience.